Yémen Qui tire vraiment les ficelles...

Guerre au Yémen: Qui tire vraiment les ficelles…

Le Yémen: l’envers du décor

Le Yémen, tout le monde en parle vite fait… mais qui regarde VRAIMENT ce qui s’y joue ? Le pays s’enfonce dans la guerre depuis des années, dans un silence parfois complice. Les puissants détournent les yeux, sauf quand il s’agit de défendre leurs intérêts ou leurs petits secrets. Sérieusement, tout sent l’omerta organisée à plein nez: des bombes pleuvent, des familles fuient, et derrière les discours de façade, chacun avance ses pions, façon grand échiquier. « Ce conflit, c’est un jeu opaque, où chaque puissance pose ses cartes à l’ombre des projecteurs », résume l’expert Laurent Bonnefoy (CERI Sciences Po).

Côté médias, tu retrouves toujours les mêmes formules: conflit régional, « interventions pour la stabilité », « restauration de la démocratie »… Mais dedans, c’est surtout pétrole, frontières et pouvoir. La scène visible se limite à houthis vs coalition saoudienne, avec l’Iran qui tire les ficelles, alors qu’une génération entière de Yéménites paie le prix fort. Pour prendre l’échelle du drame humain, va voir le dossier chronologique des Clés du Moyen-Orient.

Derrière la version édulcorée, la vraie histoire s’écrit dans les silences et les non-dits. À croire que tout est fait pour qu’on ne découvre jamais ce qui se trame en coulisses… et c’est là justement que ça devient fascinant.

La genèse du problème: Racines d’un conflit piégé

Oublie les explications simplistes. Pour piger ce bazar, faut remonter avant les bombardements, bien avant même les Houthis: le Yémen, c’est une unité fragile, brassée de tribus, clans, régions et frustrations historiques. La guerre du Saada (nord-ouest du pays, dès 2004) part sur fond de marginalisation des chiites zaydites, exclus du partage du gâteau depuis l’unification fragile de 1990 (Université de Sherbrooke).

Ensuite, c’est l’effet boule de neige: révolte populaire de 2011, espoirs déçus, trahisons politiques et, surtout, des élites incapables de gérer la transition. Quand les Houthis prennent Sanaa en septembre 2014, c’est presque un coup d’État tribal: ils surfent sur la colère populaire et s’allient même à l’ancien président Saleh, viré deux ans plus tôt. Tout part alors en vrille, entre règlements de comptes locaux, ambitions personnelles et frustrations sociales.

Les grandes puissances sautent sur l’occasion pour s’introduire… et la guerre devient internationale en mars 2015 avec la coalition saoudienne, inquiète de voir l’Iran grignoter sa frontière sud (voir: Les clés du Moyen-Orient). À ce stade, l’ONU tente d’imposer un gouvernement national, mais les clans locaux et la population n’y voient qu’une mascarade de puissances étrangères. Le reste, tu connais: ingérences, marchés d’armes, blocus, crise humanitaire hors norme, et une omerta internationale qui arrange bien trop de monde.

Ce que tout le monde veut vraiment: pétrole, armes et pouvoir

Tu crois encore que c’est juste une affaire de religion ou de « démocratie » ? La vraie mise, c’est le jackpot stratégique. Le Yémen contrôle le fameux détroit de Bab-el-Mandeb – un boyau par où passe jusqu’à 10 % du pétrole mondial. Celui qui tient ce couloir verrouille toute la Méditerranée, l’Asie… et l’Europe. – vidéo ici

Mais attends, y’a pas que le pétrole: le chaos local a transformé le Yémen en marché géant d’armes et terrain d’essais à ciel ouvert. Bombes françaises, drônes, missiles dernier cri déboulent en douce, à tel point que des journalistes se font carrément menacer pour avoir enquêté sur le business (Amnesty France).

Et derrière ces histoires de deals, chaque puissance poursuit son jeu d’influence. L’Amérique surveille le pétrole et le commerce international ; l’Iran veut ouvrir la route sur la mer Rouge ; les Émirats contrôlent les ports du sud et le business ; la France et le Royaume-Uni ramassent des contrats d’armement bien juteux.
« Le Yémen, c’est un immense casino où les puissants tentent chacun d’empocher le magot », lâche un chercheur dans une analyse géopolitique – Diploweb

Mensonges, manipulations et batailles pour la vérité

Pendant qu’on regarde ailleurs, la guerre de l’info bat son plein. Chacun raconte sa version : “les Houthis sont des terroristes”, “la coalition est humanitaire”, “l’Iran agit pour la paix”… Sérieusement, c’est à qui manipulera le mieux. Les médias officiels relaient sans broncher, alors que les journalistes de terrain ou les lanceurs d’alerte prennent tous les risques pour exposer ce qui se cache vraiment derrière les communiqués (Mediapart).

Le truc ? C’est la confusion qui arrange tout le monde. Plus personne ne sait ce qui est vrai, qui fait quoi, qui paie qui.
Les ONG continuent de tirer le signal d’alarme sur les mensonges et les crimes couverts par toutes les parties, mais leur voix passe rarement la barrière du grand public (Amnesty France).

« La première victime de la guerre… c’est la vérité » confirment les rares spécialistes qui osent encore en parler haut et fort.

Qui gagne, qui perd ? Le vrai bilan derrière les bombes

Quand tu grattes sous la surface, tu vois vite qui rafle la mise: les géants de l’armement engrangent des contrats record, les grandes puissances sécurisent des positions stratégiques pour l’après-guerre… et la diplomatie, souvent, ne sert qu’à masquer des deals en coulisses. Les sociétés militaires privées, elles, écument le terrain en embauchant à tout-va, discrètement mais sûrement (Les clés du Moyen-Orient).

Pour la population yéménite, le bilan est juste catastrophique: famine, déplacements, enfants soldats, hôpitaux détruits… À chaque round de négociations, ce sont surtout les civils qui payent l’addition, tandis que les puissants recomposent le jeu selon leurs intérêts.
Au final, ça fait une génération sacrifiée ; les calculs des uns et des autres, eux, continuent tranquillement dans les coulisses.
Plusieurs ONG et analystes l’affirment sans fard: la « paix » version diplomatique, c’est souvent un rideau de fumée pendant qu’on prépare la prochaine manche du Monopoly (Amnesty France).

Israël: Entre crainte de l’encerclement et riposte militaire

Longtemps spectateur, Israël est désormais acteur direct du conflit yéménite. Depuis 2025, face aux tirs de missiles houthis sur son territoire et la menace croissante d’un axe Iran-Houthis-Hezbollah, l’État hébreu a mené plusieurs frappes ciblées contre des infrastructures houthies au Yémen. Sa principale inquiétude: voir l’Iran installer, via ses alliés houthis, de nouveaux points d’appui capables de menacer à la fois la navigation en mer Rouge — vitale pour l’économie israélienne — et l’intégrité de son propre territoire. Israël veut briser toute tentative d’encerclement stratégique, sécuriser ses voies maritimes et afficher sa capacité à intervenir loin de ses frontières, quitte à amplifier la dimension régionale du conflit.

Yémen, théâtre des illusions… et enjeu du siècle ?

Impossible aujourd’hui de croire à la version édulcorée: la guerre au Yémen dépasse de loin la géopolitique classique. Chacun avance son pion, mais derrière, ce sont toujours les mêmes qui trinquent. Les discours sur la paix ou la « démocratie » masquent une lutte féroce pour les ressources, pour la place autour de la table et pour l’image à l’international.

« L’histoire du Yémen, c’est celle d’un peuple otage d’ambitions qui le dépassent », synthétise une chercheuse du Monde diplomatique. Tant que cette mécanique tournera à huis clos, la vérité – comme la justice – restera enterrée sous les gravats, au profit des plus puissants.

La vraie question à se poser: “À qui profite le chaos, et combien de temps ce jeu pourra durer ?” Si tu veux voir ce qui viendra après, il faudra continuer de gratter… et ne jamais prendre les belles promesses pour argent comptant.

Guerre au Yémen: Pourquoi en parle t’on si peu ?

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Au final, qui tire les ficelles ? L’ombre de la finance et des puissances

Si tu vas au bout de la logique, c’est toujours la finance globale et les grands intérêts économiques qui orchestrent le théâtre yéménite. Derrière les drapeaux, les discours et les opérations militaires, ce sont principalement les marchés du pétrole, la vente d’armes, et la sécurisation des routes commerciales qui dictent les priorités. Les grandes puissances — États, multinationales, groupes d’armement et fonds d’investissement — avancent leurs pions en coulisse : profit sur les contrats d’armement, contrôle stratégique des détroits, maintien d’un chaos utile pour influencer les prix et peser sur les alliances régionales.

Au Yémen comme ailleurs, la guerre sert souvent d’écran de fumée à la quête de renta et d’hégémonie économique: c’est l’argent — pas la morale — qui finit toujours par imposer sa loi, pendant que les populations locales restent otages de cette partie d’échecs mondialisée.


Guerre au Yémen: Chiffres clés, titres du conflit et rôle des puissants

Chiffres clés à retenir

  • Depuis 2014: dernière vague du conflit houthis-gouvernement, avec un embrasement total à partir de 2015 (Les clés du Moyen-Orient).
  • Plus de 375 000 morts (directs et indirects), dont une majorité de femmes et enfants, selon les estimations d’ONG (Amnesty France).
  • 24 millions de personnes (environ 80 % de la population) ont besoin d’aide humanitaire (Les clés du Moyen-Orient).
  • 3 à 4 millions de déplacés internes fuyant les combats, les famines et les bombardements.
  • Détroit de Bab-el-Mandeb: point de passage stratégique par où transite près de 10 % du pétrole mondial (FRS).

Rôle de chaque acteur majeur

  • Arabie Saoudite: meneur de la coalition militaire, bombarde les Houthis, cherche à bloquer l’influence iranienne à sa frontière sud (Les clés du Moyen-Orient).
  • Iran: soutient matériellement et politiquement les Houthis, cherche à affaiblir Riyad et contrôler la mer Rouge.
  • Émirats arabes unis: contrôle stratégique des ports du sud, financements de milices locales, ambitions économiques autour d’Aden.
  • États-Unis / France / Royaume-Uni: fournissent renseignements, logistique, et armes à la coalition, tout en affichant un discours “diplomatique” à l’ONU.
  • Russie / Chine: surveillent, cherchent à placer leurs intérêts diplomatiques ou énergétiques dans la perspective de l’après-guerre.
  • L’ONU: tente de négocier des trêves et de faire passer l’aide humanitaire, mais reste impuissante face aux intérêts croisés.
  • ONG et organisations humanitaires: dénoncent en permanence famine, crimes de guerre, et le sort dramatique des civils (Amnesty France).



Notes: Les liens d’articles sur la guerre au Yémen sont souvent « mouvants », c’est à dire supprimés dans le temps: il n’est pas rare de voir une publication publiée pour faire croire qu’on en parle, puis ils disparaîssent discrètement, comme si le sujet dérangeait trop pour laisser la moindre trace durable.Parler de ce sujet ne signifie pas une prise de partie mais d’un évènement incroyable dans l’histoire qui mène en réalité à un massacre humain.

Le secret nazi de Wall Street comment JP Morgan et Chase ont étouffé la vérité

Le secret nazi de Wall Street : comment JP Morgan et Chase ont étouffé la vérité

Printemps 2000. Wall Street vibre au rythme d’une méga-fusion historique : JP Morgan et Chase Manhattan s’apprêtent à unir leurs forces pour créer un géant bancaire de 30 milliards de dollars. Pendant ce temps, à Washington, une commission présidentielle exhume un passé gênant : les liens troubles des banques américaines avec le régime nazi. Deux histoires qui n’auraient jamais dû se croiser… et pourtant.

Les 12 boîtes qui menaçaient une fusion historique

Mark Mazurovski, directeur des recherches de la Commission présidentielle sur l’argent et l’Holocauste, se souvient : « Un jour, 12 boîtes sont arrivées au bureau exécutif de la Commission. Elles provenaient d’un cabinet d’avocat new-yorkais représentant Chase Bank dans le cadre de la fusion avec Morgan.« 

Ces boîtes, soigneusement gardées dans une salle sécurisée, contenaient des documents explosifs :

  • Preuves que Chase Bank avait profité des aryanisations en Allemagne
  • Documents sur le trafic des « Reichsmarks » – l’argent volé aux Juifs
  • Preuves que JP Morgan détenait des biens juifs non restitués
« J’ai regardé très rapidement une boîte et je me suis rendu compte qu’il s’agissait de documents très incriminants. Pourtant, personne n’a véritablement examiné ces archives. Elles sont restées là 3 semaines puis sont reparties à New York. » – Mark Mazurovski

 

 

L’opération « Rook venderur Marx » : le business de l’Holocauste

Les documents révèlent une opération méconnue mais systématique :

  • Entre 1936 et 1941, Chase Bank a converti en dollars l’argent volé aux Juifs allemands
  • La banque prélevait des commissions 15 fois supérieures au taux normal
  • Chiffre d’affaires total : 20 millions de dollars (soit environ 300 millions aujourd’hui)
  • Bénéfices pour Chase : plus de 500 000 dollars de l’époque (7,5 millions actuels)

L’historien Norman Goda explique : « Le problème n’est pas seulement que Chase a fait des bénéfices, mais la raison pour laquelle ils se sont lancés : ils pensaient que l’exode des Juifs d’Allemagne serait très rentable. »

 

Le silence organisé : comment la vérité a été étouffée

Face aux révélations, la stratégie des banques fut implacable :

  1. Déni : « C’est de l’histoire ancienne » (Owen P, avocat de Chase)
  2. Obstruction : Accès restreint aux documents clés
  3. Minimisation : Accord final de seulement 22,5 millions de dollars de dédommagement

Pourtant, les estimations réelles étaient bien plus élevées :

  • JP Morgan : 400 millions de dollars actuels de bénéfices liés aux avoirs juifs
  • Chase : 160-180 millions de dollars actuels
« Le règlement global de 22 millions et demi est vraiment un outrage, une insulte. Ça n’a rien à voir avec la réalité historique. » – Expert de la Commission

 

Fusion réussie, mémoire trahie

Le 13 septembre 2000, malgré les révélations, la fusion JP Morgan-Chase est officialisée pour 33 milliards de dollars. Le timing est troublant :

  • La Commission clôt ses travaux précipitamment sous pression politique
  • Les 12 boîtes d’archives incriminantes retournent à New York sans analyse complète
  • Les médias couvrent abondamment la fusion… mais presque pas les révélations nazies

Comme le résume amèrement un membre de la Commission : « Il doit y avoir un lien entre ce refus d’analyser le contenu de ces boîtes et la fusion. Ces documents étaient de la dynamite. »

 

Une leçon pour notre époque

Cette affaire pose des questions toujours d’actualité :

  • Jusqu’où les grandes entreprises peuvent-elles sacrifier l’éthique au profit ?
  • Comment les fusions importantes peuvent-elles servir à enterrer des vérités gênantes ?
  • Pourquoi les régulateurs ferment-ils si souvent les yeux face à la puissance financière ?

Vingt ans plus tard, JP Morgan Chase reste l’une des banques les plus puissantes au monde. Quant aux victimes de l’Holocauste spoliées, elles n’ont obtenu qu’une fraction de ce qui leur était dû. Un rappel cruel que dans la finance comme dans l’histoire, ce sont souvent les vainqueurs qui écrivent les règles… et la mémoire.

 

Sources et références :

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La Chine : Superpuissance ou Marionnette des Élites Mondialistes ? Les Secrets Révélés !

La Chine : Superpuissance ou Marionnette des Élites Mondialistes ? Les Secrets Révélés !

La Fondation de la République Populaire de Chine : Un Plan Orchestré par l’Élite Mondialiste

La naissance de la Chine communiste sous Mao Tsé-toung ne fut pas un simple soulèvement populaire, mais le résultat d’une influence subtile et stratégique des élites mondialistes. Dès le début du 20e siècle, l’organisation secrète Skull & Bones a établi des institutions en Chine, sous l’égide de Yale-in-China, financée par Rothschild et la Fondation Rockefeller. Ces structures, sous couvert d’humanitarisme, ont en réalité servi de levier pour placer Mao au pouvoir.

Selon un article du Yale Daily News de 1972, « sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l’inconnu au pouvoir ». Plus tard, au cours de la guerre civile chinoise (1927-1949), le général américain George C. Marshall, membre influent de Skull & Bones, a délibérément stoppé l’armement du Kuomintang, facilitant ainsi la victoire du Parti communiste chinois. Dès lors, la Chine s’est transformée en un laboratoire géopolitique, où Mao a instauré un régime de terreur avec des politiques comme le Grand Bond en Avant et la Révolution Culturelle, causant des dizaines de millions de morts.

L’influence des grandes familles financières ne s’est pas arrêtée là : David Rockefeller a décrit cette oppression comme une « expérience sociale réussie », confirmant ainsi que la Chine servait de modèle pour un contrôle global. Aujourd’hui, le système de surveillance et de crédit social chinois illustre à quel point ce projet s’est perfectionné, et pourrait bientôt être exporté à l’échelle mondiale.

Deng Xiaoping et Les Réformes Clés à l’Origine du Développement

Depuis les réformes économiques de 1978 initiées par Deng Xiaoping, la Chine est passée d’une économie planifiée à un modèle hybride combinant intervention de l’État et ouverture au marché mondial. Ce changement stratégique a permis à la Chine de devenir la deuxième économie mondiale en un temps record.

La transformation de la Chine repose sur plusieurs piliers :

  • Réformes du marché : passage d’une économie centralisée à une économie de marché contrôlée.
  • Zones économiques spéciales (ZES) : ouverture de villes comme Shenzhen à l’investissement étranger.
  • Développement des infrastructures : modernisation des routes, ports et voies ferrées.
  • Stratégie d’exportation : la Chine est devenue l’atelier du monde grâce à une main-d’œuvre abondante et peu coûteuse.

La Chine et la Mondialisation

En intégrant l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001, la Chine a consolidé sa place dans l’économie mondiale. Aujourd’hui, elle est un acteur clé dans :

  • Le commerce international : premier exportateur mondial de biens manufacturés.
  • Les nouvelles technologies : leader dans l’IA, la 5G et les semi-conducteurs.
  • La finance mondiale : développement du yuan numérique et influence croissante sur le FMI.
  • Les routes de la soie : un projet d’investissement massif pour renforcer son influence économique et géopolitique.

Défis et Controverses

Malgré son succès, la Chine fait face à des défis :

  • Relations commerciales tendues : tensions avec les États-Unis et l’Europe sur les droits de douane et le respect des brevets.
  • Endettement massif : croissance alimentée par des investissements souvent risqués.
  • Surveillance et contrôle : expansion du crédit social et des technologies de surveillance.

La Chine : Superpuissance dans les mains des Élites Mondialistes ? Vidéo Kla TV

La Chine est devenue un acteur incontournable de l’économie mondiale grâce à une stratégie économique ambitieuse. Toutefois, son avenir dépendra de sa capacité à gérer ses défis internes et ses relations internationales.