Amine Umlil: Victime d’une Révocation Politique et Sanitaire

Une situation complexe pour Amine Umlil : Révocation et persécution

Amine, docteur en pharmacie et juriste en droit de la santé, traverse une période difficile après avoir été révoqué de son poste de praticien hospitalier. Depuis plus de 20 ans, il exerçait à l’hôpital de Cholet, mais son avenir professionnel semble désormais incertain.

Les pressions politiques derrière la révocation

En janvier 2024, une révélation choquante dans la presse a mis en lumière l’implication de figures politiques dans sa révocation. En effet, Olivier Véran, ex-ministre de la Santé, et Agnes Firmin Le Bodo, pharmacienne et ancienne ministre de la Santé, auraient exercé des pressions sur le Centre National de Gestion (CNG) pour aboutir à cette décision. Cette révélation a également conduit à une relance de l’enquête judiciaire pour harcèlement moral.

Des décisions judiciaires incompréhensibles et des injustices administratives

Malgré l’absence de fondement dans le dossier de sa révocation, Amine fait face à des décisions administratives sans précédent. L’Ordre des pharmaciens, après avoir ignoré son appel, lui a infligé une interdiction temporaire de pratiquer pendant trois ans, sans tenir compte des irrégularités flagrantes dans la procédure. De plus, après avoir trouvé un poste dans une clinique privée, il a été empêché de travailler suite à un refus de l’Ordre de délivrer une attestation de réinscription.

Un cas emblématique de l’inefficacité de la pharmacovigilance en France

Un autre aspect de l’histoire d’Amine concerne les effets indésirables des médicaments, notamment les myocardites et péricardites liées aux vaccins contre le Covid-19. Dès le début de 2021, ces risques ont été identifiés par les professionnels de la pharmacovigilance et ont été publiquement reconnus par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Cependant, les autorités sanitaires ont continué à promouvoir le vaccin, et l’obligation vaccinale a été imposée sans prendre en compte ces risques.

Les conséquences dramatiques et la dissimulation de l’information

Malgré les alertes répétées d’Amine, il a été accusé de façon injustifiée et a dû faire face à une campagne de dénigrement. Comme l’a souligné un journaliste dans une interview récente, il a été interdit de partager certaines informations : « On savait que ce n’était pas vrai, mais c’était interdit de le dire ». Cette attitude a contribué à une méfiance accrue envers les autorités sanitaires et les politiques publiques liées à la vaccination.

Des révélations internationales qui contrastent avec l’omerta en France

Alors qu’à l’étranger des informations sur les risques du vaccin sont mises en avant, la France semble toujours sous l’emprise d’une omerta médiatique. Les autorités françaises ont continué à diffuser des messages contradictoires, et des victimes de vaccins ont été trop souvent marginalisées, comme l’indique le rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.

Le tournant : La révision des politiques de vaccination en 2023

Le Conseil d’État a récemment annulé la circulaire de 2021 qui imposait la vaccination des professionnels de santé libéraux. Ce revers pour les autorités sanitaires montre que les voix discordantes, comme celle d’Amine, sont enfin entendues. Pourtant, une récente déclaration du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, a confirmé que certaines restrictions de vaccination ne relèvent pas de la santé publique, ajoutant à la confusion générale sur les objectifs de ces politiques.

Un avenir incertain pour la réputation de la vaccination

Amine a averti dès le début de la crise : « Nous risquons de détruire la crédibilité de la vaccination elle-même ». Aujourd’hui, il semble que sa prévision soit devenue réalité. La gestion de la crise a non seulement mis à mal la confiance dans les autorités sanitaires mais a également créé une régression médicale qui continue d’avoir des répercussions sur la perception publique de la vaccination traditionnelle.

Un appel à la transparence et à la responsabilité

Alors que l’enquête sur les pratiques des autorités sanitaires se poursuit, Amine continue de se battre pour que justice soit rendue et pour que les victimes des effets secondaires du vaccin ne soient pas ignorées. Il insiste sur la nécessité de promouvoir une transparence totale dans la gestion des médicaments et des traitements.

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